Fief Seigneurial issu de mérite (attribué)
Vassal du Comté de Cessenon
Actuel Seigneur : Takoda d'Ambroise
Précédent Seigneur :
Description du Blason : « D'argent, à la barre ondée d'azur, accostée de deux bottes de cresson liées d'or. »
Devise : /
Nom des habitants : Berlounaises - Berlounais
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Généralités historiques
Berlou est répertorié comme paroisse en 1352 et est citée dès 1386 dans le cartulaire de Cessenon. Elle faisait partie de la châtellerie de cette commune qui est rattachée directement à la
couronne royale.
Bien que le nom du lieu ne soit vraisemblablement pas lié à la présence de loups dans la région, ils étaient très nombreux dans la forêt des Albières.
L'origine de la vigne de cette contrée remonte à Charlemagne et à Saint Benoît d'Aniane dont le compagnon, prénommé Annian, crée en 782 le premier établissement monastique, base des défrichements
futurs. Il est vraisemblable que la culture de la vigne s'est poursuivie dans ces lieux tout au long de l'histoire.
Vestiges préhistoriques et antiques
Architecture civile
Architecture sacrée
Citation: | ||
Le vingt-cinquième jour de septembre de l'an de grâce MCDLX, en présence de nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, dite Montjoie, Roi d'Armes de France, Takoda d'Ambrois, écuyère, s'est présentée par-devant la noble dame Mélissa « Alandrisse » de Montbazon-Navailles de Llortz, comtesse de Pézenas, vicomtesse de Cessenon et de Lomagne, baronne du Pouget, dame de Bueil. Ladite Takoda, agenouillée, désarmée et tête nue, a fait foi, serment et hommage à ladite noble dame pour les terres et appartenances qu'elle doit d'icelle dans le vicomté de Cessenon, sis en Languedoc, promettant de faire tout ce que bonne et loyale vassale doit et est tenue de faire à sa vraie et naturelle suzeraine; lequel hommage et serment de loyauté la vicomtesse a reçu de ladite vassale en lui donnant l'accolade. En conséquence de quoi, dame Takoda se voit octroyer le fief de Berlou, fief érigé en seigneurie et devient dame de Berlou et portera : « d'argent, à la barre ondée d'azur, accostée de deux bottes de cresson liées d'or », soit, après dessin : En témoin desquelles choses, nous, ladite Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, avons fait et fait mettre en cire d'or notre sceau à ce présent contreseing à Montpellier, le vingt-septième jour de septembre de l'an de grâce MCDLX. |