Fief Seigneurial issu de mérite (non-attribué)

Vassal de la Baronnie d'Anduze

 

Actuel Seigneur :  

Précédent Seigneur : 

 

 

Description du Blason : « D'argent au château de gueules de deux tours couvertes et flammées du même. »

Devise : /

Nom des habitants : Vézénobriennes - Vézénobriens

 

 

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Généralités historiques 

Ancien oppidum gaulois sur la voie Regordane. 
"Age d'or" du XIe et XIIIe siècles Vézenobres, seigneurie vassale d'Anduze, était une riche ville fortifiée et commerçante où l’on croisait Génois et Pisans. (340 feux en 1295). 
Siège et destruction du fort par le duc de Rohan – chef des Camisards – au XVIIe siècle (1638 ?). 

Aujourd’hui, Vézenobres est un beau village, une sorte de Baux de Provence du Languedoc, contemplant du haut de sa colline la route d’Alès à Nîmes. 

Le château est situé au sommet de la colline, tandis que l'agglomération s'étendit sur le flanc sud autour d'une voie de circulation principale. 
La ville comporte encore de nos jours de nombreuses maisons datant des XIIe siècle, XIVe siècle et XVe siècle. Le château est lui en ruine. 

 

Vestiges préhistoriques et antiques 

• Station romaine ; plusieurs inscriptions au château de La Calvière. 

 

Architecture civile 

• Village pittoresque* (SI) d'aspect médiéval : vieilles rues en pente, passages voûtés. 
• Vestiges du fort et des enceintes 12ème. 
• Porte Sabran* (IMH), ancienne porte fortifiée 12ème. 
• Ruines du château fort de Montanèbres 14ème. 
• Rue des Maisons Romanes* 12ème. 
• Maisons 14ème/15ème ; maison d'Adam et Eve 15ème. 
• Château de Fay-Pérault* 14ème (hôtel de ville) : mâchicoulis. 
• Château de La Calvière* (IMH), château féodal 15ème très remanié 18ème : bâtiment flanqué de 2 ailes à façade classique avec fronton triangulaire, colonnade et escalier à double volée, combles à balustrades ; théâtre, pièces d'eau, château d'eau et chapelle (IMH). 

 

Architecture sacrée 

• Ancienne église Saint-André 17ème : fresques 18ème. 
• Eglise paroissiale 19ème. 
• Temple. (L'un des rares datant d'avant la révocation de l'Edit de Nantes - Transformé en église à la révocation puis retransformé en temple)